Les gens qui comptent de Frederic Petracca, inspire les Selfie d'Or !

Minute découverte à la rédac  ! Aujourd’hui c’est un nouveau livre qu’on a découvert ! Une couverture jaune, comme le soleil, ou.. comme les poussins aussi ! Quoi qu’il en soit on s’est penché sur cette nouvelle sortie littéraire accompagnée d’un beau concours surfant la tendance !

Bien sur, à ce stade, vous mourez d’envie de connaitre l’histoire. Allez ok, on spoile :  Il est beau – très beau – seul, immobile et muet. Assis sur un banc, tout le monde le regarde mais lui ne voit personne. Il n’a rien et semble ne rien vouloir. Qui est cet apollon visiblement en état de choc ? D’où vient-il ? Comment s’est-il retrouvé là ? Avec sa gueule d’ange pour seuls papiers, il aurait mieux fait de ne pas traîner dans la rue !!!

Et le Livre alors concrètement, ça donne quoi? (en vente à la fnac héhé, ou encore amazon) : Les gens qui comptent, c’est un peu la confrontation de deux « corps de souffrance » en opposition. Celui de Gontran, paparazzo minable, sombre et omniprésent, qui puise sa force dans les projections mentales d’un bonheur qui dépendrait de l’argent et de la notoriété, et celui d’Adam, sorte d’« autiste » sublime, intense et maîtrisé, qui sera conduit à se réfugier dans le mutisme du moment présent et le refus d’agir. Le livre, construit comme une fable satirique avec des personnages singuliers et des situations parfois grotesques, soulève la question de l’éthique et des valeurs occidentales. Argent, pouvoir et leurs dérives, l’Homme devenu marchandise… Les gens qui comptent suit le point de vue de Gontran, celui qui pense et agit. Adam, en revanche, invite le lecteur à l’intérieur, à se faire témoin de la folie humaine qui se met en danger par sa poursuite effrénée de gratifications individuelles. D’une écriture qui convoque autant la sensibilité que l’ironie et la sobriété, Frédéric Petracca conduit un récit sans morale mais avec une conscience.

L’auteur : Frédéric Petracca est né quelque part en 1970. Il aurait pu être consultant. Il aurait pu être dirigeant. Il aurait pu faire partie des gens qui comptent. Mais il a préféré la vie et ses plaisirs, alors il a plaqué sa carrière et s’est mis en tête d’écrire quand il n’officie pas dans son restaurant. La bouffe, les mots, les livres… des choses qui comptent pour lui.

Mais pour être sérieux deux minutes, consultant puis directeur d’entreprise dans les nouvelles technologies à Paris, il décide en 2006 de se consacrer à l’écriture. Les gens qui comptent est son premier roman de fiction pour lequel il a signé un contrat d’adaptation pour le cinéma. Il développe en parallèle des projets pour la télévision et poursuit l’écriture de son deuxième roman.

www.les-gens-qui-comptent.com

 Le petit +

Pour accompagner la sortie des Gens qui comptent, participez dès le 5 mai aux Selfies d’Or, organisés par Les Éditions Ipanema via Facebook. Chaque semaine un nouveau thème inspiré du livre fera l’objet d’un concours de selfies et récompensera l’autoportrait qui compte… le plus de votes.

Pour plus d’infos www.facebook.com/SelfiesdOr

Votre (Miss) Dettachée,

alizee@dettacheedepresse.com